Les Galopins de Calcutta

Coordonnées

6 rue du Pré Clair – 14000 CAEN

Contact

Pascale GIBOUIN-RAUX (Présidente)

pascale@galopinsdecalcutta.org

Virginie CINGAL, Secrétaire
virginie@galopinsdecalcutta.org
07.68.12.47.27

Fabienne FICHET (Coordinatrice)
fabienne@galopinsdecalcutta.org

Présentation

Qui sommes-nous ?

« Les Galopins de Calcutta » est une association humanitaire française de type ‘loi 1901’ qui a pour but de collecter des fonds et tout ce qui peut être nécessaire à l’amélioration des conditions de vie des enfants des rues de Calcutta, un projet débuté en mars 1999 et où l’éducation a pris une part croissante.

Cette association est partie de l’initiative de Fabienne Fichet, monitrice-éducatrice française, décidée à travailler auprès des enfants de Calcutta. Fabienne a découvert l’Inde en 1989 et a été sans cesse fascinée et intriguée par ce pays. Ses amis et sa famille ont débuté un mouvement de soutien, finalement appelé : Les Galopins de Calcutta.
L’association (loi 1901) a été officiellement enregistrée en mai 1999 en France (Journal Officiel n°1085 du 29 mai 1999). Elle est aussi inscrite légalement auprès d’une organisation non-gouvernementale (ONG) en Inde depuis avril 2001.

Nos activités

Notre association s’est toujours efforcée de trouver les solutions les plus adaptées pour que les enfants des rues et des gares recueillis au sein des foyers aient un avenir meilleur. Le projet s’est rapidement tourné vers l’éducation et aujourd’hui axe son action principale sur une éducation de qualité pour ces garçons.

Tous les garçons du foyer bénéficient d’un suivi scolaire attentif dès leur arrivée. Les plus petits sont envoyés à l’école rapidement tandis que les plus grands commencent leur apprentissage scolaire au foyer, aidés de bénévoles ou de professeurs.

L’organisation

Depuis le début, plusieurs configurations ont existé : du départ, avec quatre enfants dans un petit foyer, jusqu’à un maximum de quarante trois ‘Galopins’ dans trois foyers. Maintenant, les plus grands et plus anciens des garçons s’en vont ; et le vide laissé par l’envoi d’un maximum d’enfants dans les Boarding Schools (pensionnats) pour une bonne éducation ne nécessite plus que l’utilisation de deux foyers.